2 KILOMÈTRES D'ESPOIR !

Agissons à Cesson-Sévigné !

Bonjour à toutes et à tous, je m’appelle Nathan Crouzet, j’ai 32 ans. Si je suis de formation architecte-urbaniste, maçon et futur agriculteur, l’écologie est ce qui m’anime et me guide depuis toujours. Je vis et travaille sur notre ferme au nord de Cesson-Sévigné juste à côte de Rennes (35). J’ai besoin de vous aujourd’hui au sujet d’un projet qui me tient à cœur et me donne ESPOIR depuis que je suis enfant, et qui j’en suis certain, vous concerne également:

 

 

Après six ans de travaux sur les bâtiments de la ferme de la Grande-Frinière, j’entreprends de restaurer désormais son territoire de 35ha : Haies bocagères, qualité des terres et des eaux, milieux naturels et chemins ruraux. Si le remembrement des années 70 a eu un sens au moment de la modernisation du système agricole français et d’une rationalisation des parcelles, il doit être profondément remis en question à l’heure des crises environnementales, de la gouvernance alimentaire et de la pression immobilière péri-urbaine. Agissons !

 

 

Objectif : Replanter 2 km de haies bocagères et restaurer une mare ancienne sur 4 ans !

 

Restaurer un patrimoine commun

Le projet est déjà une réalité, car depuis cet hiver, avec des bénévoles nous sommes en train de planter un premier tronçon de haies bocagère de 500m linéaires sur talus.

Cette première expérience prouve alors qu’il faut un minimum de 1200euros pour 500m linéaires. Ici, je me dis que l’enjeu dépasse ma seule personne, car je sais à quel point deux nouveaux kilomètres de biodiversité constituera à terme un véritable patrimoine commun, naturel, agricole et culturel.

 

 

Planter une oasis de biodiversité

On plante une trame de chênes, châtaigniers, frênes, et cormiers sur talus et fossés, et entre, des strates de petits arbres et arbustes comme des sureaux, aulnes, noisetiers, aubépines, prunus, pommiers et poiriers sauvages, cornouillers, fusains, saules têtards… Sachant qu’il faut aussi les protéger d’un grillage, les pailler, les signifier et surtout les entretenir durant les dix premières années.

Nous planterons ainsi plus de 1 500 arbres et arbustes sur les talus et fossés. Cependant, si nous voulions seulement retrouver l’équilibre écologique de ce territoire de 35 hectares en 1950, il nous faudrait planter plus de 4km de haies bocagère, planter 1 000 pommiers dans les champs, recréer 2 mares et au moins 1km de sentiers.

 

 

On a donc encore beaucoup de travail ! 

 

Une ferme qui fait aussi la part belle aux artisans !

En restaurant la ferme de la Grande-Frinière, notre choix est de conserver une activité agricole et artisanale sur le site, et d’offrir à des artisans la chance de s’y exprimer professionnellement. Nous avons reçu plus de 500 stagiaires et bénévoles en six ans sur le chantier de la ferme que nous restaurons de manière strictement écologique et à l’ancienne. En 2021 nous avons accueillis dans le fournil un artisan-boulanger qui vend son pain biologique et pétri à la main sur les marchés locaux. Nous accueillons également un maçon spécialisé en construction terre. En 2023, deux brasseurs installeront dans la grange de la ferme leur lieu de production de bières artisanales.

 

^{Ferme de la Grande-Frinière (datant du XVIe au XXe siècle). Centre d'apprentissage des techniques de restauration écologique et ancienne. Lieu d'accueil d'une génération déterminée à changer ce monde.} 

 

Une marche en avant

Désormais, nous dirigeons notre projet de restauration des terres de la ferme comme un tout cohérent. C’est le moment d’adapter ces 35 hectares et d’amorcer leur conversion en agriculture biologique et locale pour les prochaines décennies. Quoi de plus logique que d’y produire à terme du blé pour le pain, de l’orge et du houblon pour la bière, du chanvre pour la construction, et pourquoi pas des légumes ? Les haies y ont alors une importance cruciale, car amorcent notre projet agricole et permettent de protéger les terres, produire également une richesse en bois d’œuvre, de fagots et de fruits pour une éventuelle transformation.

 

Les fous sont ceux qui bétonnent

Parfois je me demande si je ne suis pas fou… Mais les vrais fous, les vrais irresponsables sont bien ceux qui veulent bétonner les terres agricoles et naturelles. Contre de l’argent. Contre les intérêts de notre génération et des prochaines et qui trouveront dans les terres de la ceinture verte une unique porte de sortie pour le futur d’une métropole autonome.

Vous ne pouvez même pas savoir comme je suis heureux et fier. Nous n’aurons pas fait « notre part », à notre échelle, nous aurons fait notre MAXIMUM.

 

 

A quoi serviront les dons collectés

• Avec 5 000€ : nous pourrons au maximum planter 2 kilomètres de haies bocagères et recréer une mare ancienne.
• Avec 6 000€ : nous pourrons également installer une petite pépinière sur la ferme et produire une partie de nos plants à moindre frais et en proposer gratuitement à des particuliers.
• Avec 7 000€ : nous pourrons réaliser des aménagements pour la faune : Pierriers / zone humides / haie « morte » / abris à oiseaux, chauves-souris, hérissons, insectes…
• Avec 9 000€ : nous pourrons aller plus loin et planter 1 kilomètre en plus jusqu’en 2028.
• Avec 10 000€ : nous achèterons des outils pour l'entretien des haies et des espaces naturels.
  
• Avec 12 000€ : nous constituerons une association proposant de planter et gérer plusieurs nouveaux kilomètres de haies, bénévolement, sur des parcelles publiques ou privées sur Cesson-Sévigné ou en région rennaise. Puis, nous changerons ce monde...
  

 

Pour afficher l'image en grand : clic droit puis "afficher l'image dans un nouvel onglet"

 

Pourquoi faire appel au financement participatif ?

Je n’ai pas les fonds suffisant pour payer seul les 2km de haies et la restauration de la marre ancienne. J’ai plus que jamais besoin de votre soutien financier si nous voulons construire un projet à la hauteur des enjeux écologiques et sociaux contemporains. J’ai confiance en votre générosité, et j’ai également confiance en la plateforme de financement participatif Bluebees qui correspond à mes valeurs et qui a déjà pu aider deux de mes amis à rendre leurs rêves possibles. 

 

3 bonnes raisons de nous soutenir

• Vous soutenez la restauration d’un milieu agricole et naturel stratégique.
• Vous favorisez l’émergence d’une nouvelle ferme autonome, résiliente et de circuit-court.
• Vous luttez pour la protection des terres agricoles péri-urbaines.

 

^{Pépinière d'Arnaud Fourrier à Goven (35). Plants bio et locaux.}

 

A propos de Nathan Crouzet

• 1989 : Naissance à Rennes et enfance à Cesson-Sévigné
• 2008 : Baccalauréat Lycée Sévigné/ Cesson-Sévigné
• 2008-2014 : Diplôme d’Architecte d’Etat -École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (ENSAV).
• 2014-2015 : Diplôme National d’Urbanisme/ Master II VT Pro/ Politiques et pratiques de l'urbanisme. -Faculté de Droit et de Sciences Politiques de Nantes + IGARUN + ENSAN-
• 2015-2025 : Restauration de la Ferme de la Grande-Frinière / XVIe siècle / Cesson-Sévigné. Respect du bâti par des techniques de maçonnerie anciennes et écologiques / Chantier participatif ou stages.
• 2016 : Création de mon entreprise d’architecture et d’urbanisme/ Nathan Crouzet Projets.
• 2022-2023 : projet de BPREA (Brevet Professionnel Responsable Exploitation Agricole).
• 2024 : Exploitation des terres agricoles de la ferme de la Grande-Frinière. 

 

 

Coordonnées

Ferme de la Grande-Frinière

Hameau de la Frinière

35510 Cesson-Sévigné

06 01 91 51 38

 

      

 

Vous pouvez envoyer un chèque à l'ordre de BlueBees au 102c rue Amelot, 75011 Paris.

N'oubliez pas d'inscrire "Nathan Crouzet" au dos du chèque ainsi que la contrepartie choisie.