Ruches de biodiversité : le film

France, Glatens (82) Association Ozo Za Oko

Nous sommes Perrine Bertrand et Yan Grill, un couple de réalisateurs qui avons besoin de vous pour notre film documentaire sur les abeilles : Ruches de Biodiversité. 

Dans ce documentaire, nous partons à la rencontre de nombreux amoureux des abeilles, pionniers et lanceurs d’alertes, amateurs et professionnels en quête de solutions concrètes pour permettre à celles-ci de vivre de façon naturelle : nous serons à l'écoute d'une parole rarement entendue ! Enrichissant, engagé, enthousiasmant et dérangeant... ce sera un film résolument tourné du côté des abeilles, pour essayer de comprendre leurs véritables besoins.

Pour aller au bout de ce projet, nous avons besoin de votre soutien ! 



L’abeille meurt !  Elle « crève » à une vitesse qui nous fait peur. Nous nous sentons impuissants…
Et si nous avions nous aussi notre part de responsabilité ? Est-ce que nous ne pouvons vraiment rien faire ?

 

 

Un film d'espoir : proposition de pistes concrètes pour une apiculture durable et respectueuse des abeilles

L'objectif est de réaliser un film documentaire "Ruches de biodiversité, pour que les abeilles retrouvent leur nature sauvage" (titre provisoire), de 75 min environ, pour sensibiliser à la préservation des abeilles et proposer des pistes concrètes pour une apiculture naturelle et durable respectueuse des abeilles. Ce film prend le contre-pied des idées reçues, et ouvre des voies de réflexion nouvelles. A travers des témoignages multiples, nous allons découvrir qu’en réalité, aider les abeilles n’est pas si compliqué, et même que c’est à la portée de tous ! Et si, pour une fois, on écoutait l’abeille au lieu de l’exploiter, pour répondre à ses besoins réels ? Ce film sera diffusé lors de projections-débats dans les réseaux alternatifs, dans des cinémas, ainsi que dans des festivals de films sur l'environnement.Il sera également disponible en DVD, à partir de fin 2018. Il sera, nous l'espérons, source de nombreux échanges et débats. 

Nous sommes convaincus que si nous ne sommes pas capables de sauver les abeilles, nous serons incapables de préserver la planète. Nous sommes dans une impasse : seuls responsables du désastre actuel et incapables d’ouvrir les yeux sur les causes de la disparition des abeilles, domestiques comme sauvages.

Cette situation, si catastrophique soit-elle, n’est pas une fatalité : nous pouvons changer de comportement et, par des gestes simples et une attitude responsable, aider l’espèce à se redéployer… Le pire, pour nous, serait de ne rien faire. Il s'agit de revoir notre rapport à l’abeille avec comme objectif, non plus ses productions, mais sa survie, salutaire, pour elle et pour nous ! Nous partons dans ce documentaire à la « quête de l'abeille mellifère sauvage », dans la lignée de nos films précédents : "L'ortie fée de la résistance" & "La révolution des sols vivants". 

 

INTRODUCTION

L'abeille est apparue il y a au moins 100 millions d'années, elle a survécu à de nombreux changements climatiques et à bien d’autres catastrophes environnementales. Elle a cohabité pendant des millénaires avec l'homme.

Mais aujourd'hui, cette cohabitation harmonieuse est remise en cause, la mortalité des abeilles domestiques a atteint des proportions énormes, la moyenne annuelle pour 2016 est de 30% de pertes en France, mais il n'est pas rare que certains apiculteurs perdent la totalité de leurs ruches.

Les causes sont multi-factorielles : les effets d’une agriculture intensive, l'utilisation des pesticides, la perte de biodiversité sont souvent cités. L’apiculture intensive, en surexploitant la ruche et en la privant de ses productions (miel, propolis, gelée royale, cire) fragilise beaucoup les colonies d’abeilles.

Nous pouvons agir sur certains facteurs et avoir une large action bénéfique. Parmi ceux-ci, « Les ruches de biodiversité » vont explorer : 

  • L’affaiblissement génétique des populations d’abeilles
  • La perte de leurs habitats, 
  • La perte d’alimentation équilibrée
  • La communication avec les abeilles

 

PARTIE #1  Mieux connaître les abeilles et respecter leurs besoins : la prise de conscience...

Dans cette première partie, nous irons à la rencontre des abeilles pour mieux les connaître. Des spécialistes et apiculteurs, amateurs ou professionnels, grand observateurs des abeilles, nous aideront à mieux connaître leur vie :

  • leur différentes « carrières » au fur et à mesure de leur croissance au sein du nid et à l'extérieur,
  • leur manière de communiquer entre elles, par des danses notamment,
  • les moyens utilisés pour se défendre, les sacrifices au service de leur ruche,
  • leurs besoins en nourriture, et comment aujourd’hui les abeilles meurent de faim en raison d’un appauvrissement spectaculaire de la biodiversité florale des campagnes.
  • comment elles fabriquent le miel, collectent le pollen et à quoi leur sert la propolis.

Les abeilles gèrent leur santé depuis la nuit des temps, pourquoi sont-elles devenues subitement si fragiles ? Tout simplement parce que nous avons oublié quels étaient leurs vrais besoins. En portant un regard neuf sur la ruche, nous apprendrons à mieux respecter son intimité. 

Les abeilles ont vécu pendant longtemps ainsi. Mais aujourd'hui les abeilles doivent relever plusieurs défis :

  • la perte d'espace pour leurs habitats,
  • un appauvrissement considérable de leurs ressources pour s'alimenter,
  • faire face à différentes attaques de parasites nouveaux tels que le frelon asiatique,
  • des stress beaucoup plus importants qu’il y a seulement 20 ou 30 ans, tels les pesticides qui les affaiblissent fortement.

L'homme étant en partie responsable de ces difficultés, comment pouvons-nous faire autrement que de les aider à s'adapter à nouveau pour mieux résister à toutes ces agressions ?

 

PARTIE #2    Le défi : faire autrement

Dans cette deuxième partie, nous réalisons qu'il est urgent de nous mettre au service des abeilles et non plus uniquement au service de la production. En parallèle d'une apiculture de production, il est nécessaire de mettre en place une apiculture de conservation.

Des apiculteurs professionnels et amateurs en chemin vers d'autres façons de faire partagent avec nous leurs expériences et les différentes pratiques que nous pouvons appliquer nous-mêmes. A travers des exemples concrets et simples à mettre en œuvre, nous découvrons de nombreuses solutions.

L'une des premières choses que nous pouvons faire est de recréer leurs habitats naturels, aujourd'hui disparus. Comme on fait des nichoirs pour des oiseaux, on peut faire des ruches de biodiversité pour reconstituer un réseau d'habitat adapté à l'abeille domestique mais sans production et sans intervention pour leur redonner la possibilité de retrouver leur nature sauvage et d'assurer pleinement leur rôle premier : assurer la pollinisation.

 

Si les habitats ont disparu, leurs ressources alimentaires se sont considérablement dégradées et il n'est pas rare que les abeilles se retrouvent affamées.

Pour cela, nous pouvons agir en ville comme à la campagne en préservant et développant la biodiversité et les plantes mellifères. Nous découvrons de nombreux exemples de mise en place de haies et de plantes mellifères dans les milieux publics et privés pour recréer les paysages de demain. Ecoles, places publiques, jardins, balcons, terrains agricoles... nous pouvons agir dans tous les milieux autour de nous ! Un seul arbre peut nourrir une ruche pendant plusieurs semaines, pensons-y lorsque nous aménageons nos territoires et nos pelouses…


Permettre à l'abeille de retrouver le gîte et le couvert est essentiel, lui permettre de s'adapter elle même et de se reproduire naturellement est aussi essentiel, cela lui permet de développer son potentiel génétique.

Comment pouvons-nous y parvenir ?  C'est ce que vont nous montrer quelques amoureux des abeilles, mais aussi les conservatoires de l'abeille noire qui œuvrent à la sauvegarde des abeilles locales rustiques. Des scientifiques les accompagnent, nous irons à leur rencontre.

Vers une apiculture durable...

L’idée forte de l’apiculture de conservation n’est pas d’opposer deux types d’apiculture ; en effet l’apiculture de production, si elle est raisonnée, a toute sa place dans un système de production durable. Mais à côté d’elle, doit se développer un réseau de ruches de biodiversité consacrées aux seules abeilles, non pas à leur production… La finalité de cette démarche étant de créer un vrai réservoir génétique d'abeilles sauvages rustiques sur lequel pourra s'appuyer une apiculture durable pour se rédéployer.

 

PARTIE #3  Changer notre regard sur l'abeille

Ne plus s'intéresser aux productions de la ruche mais à l'abeille, suppose que nous imaginions une autre forme de dialogue avec ces insectes si précieux. Nous vous proposons d'aller à la rencontre d'apiculteurs aux parcours étonnants qui entrent en communication avec l'abeille et en résonnance avec ce super-organisme que constitue la colonie et son enveloppe, la ruche.

La prise de conscience que l'abeille pourrait disparaître demain, par notre faute, a fait naître une forme nouvelle d'apiculture, heureuse et responsable, qui ne considère plus l'abeille comme un cheptel productif, mais comme un être vivant avec qui nous devons instaurer un nouveau dialogue !

 

CONCLUSION

Trouver des solutions pour aider les abeilles est possible, il en va de notre responsabilité, le chemin se construit peu à peu… La situation est si grave que le pire serait de ne rien tenter !

Changer notre regard sur la nature, travailler avec elle et non contre elle sont des valeurs que nous voulons partager. 

 

VINCENT ALBOUY, ENTOMOLOGISTE

utilise des « nichoirs » qu'il place un peu partout sans intervenir : il ne nourrit pas les abeilles, ni ne récolte. Grand observateur de la nature, il nous apprendra à mieux les connaître et les respecter.


« Si nous parvenons à sauver les abeilles -et malheureusement ce n'est pas gagné d'avance- ce sera en respectant leurs besoins fondamentaux et non en les contrariant. Faisons leur confiance pour qu'elles trouvent elles-mêmes les solutions. Aidons-les en les mettant dans les meilleures conditions possibles pour y parvenir. Les défis que doivent relever les abeilles sont chaque jour un peu plus grands. Je n'ai aucun moyen d'action efficace sur l'accumulation dans les milieux des pesticides chimiques de synthèse déversés en masse depuis plus de soixante ans, sur les nouvelles molécules actives à des doses infinitesimales, sur l'effet cocktail du mélange de molécules, sur les maladies, les parasites et prédateurs importés d'autres continents. J'aide mes abeilles en laissant une large place à la flore mellifère sauvage sur mon terrain et en abandonnant les pratiques apicoles perturbantes. »

 

ANDRE WERMELINGER, FreeTheBees & Tree Beekeeping International

 Ces deux associations suisses font les mêmes constats et prônent les mêmes solutions.

« Contrairement à certains animaux, les abeilles ne peuvent pas crier et ne nous regardent pas tristement dans les yeux. Mais sans abeilles, il nous manque un sérieux pilier de notre fondement de la vie – possible que l’homme ne pourrait pas survivre sur terre sans l’abeille, comme Einstein disait. Scientifiques et autorités, fédérations et politiciens sont largement pris dans des intérêts personnels et financiers et sont sous influence de l’extérieur. De vraies solutions à long terme n’ont à ce jour encore jamais été proposées par les responsables. Et c’est là où je vois mon travail principal : j'essaie de créer de la transparence et d'informer les apiculteurs afin de pouvoir participer à des changements radicaux, avec relativement peu d’efforts et très peu de coûts. »

 

KARINE DEVOT, Apicool 

L'association a pour objet principal de mieux faire connaître le monde des abeilles (mais pas seulement) et propose des actions de préservation des pollinisateurs, les « VIP » du jardin, de la vie sauvage et de notre cadre de vie.

« Nos actions reposent principalement sur deux axes indissociables : le gîte et le couvert, l’habitat et la nourriture. Nos abeilles, qu’elles soient sociales ou solitaires, manquent cruellement aujourd’hui d’habitats naturels et de fleurs sauvages. Là sont les priorités. »

JEAN-PIERRE GAUTHIER, APICULTEUR

Cet apiculteur prend le temps d'observer les abeilles et revisite les pratiques apicoles avec le souci de l’abeille avant celui de leur production ; il parle de la ruche comme personne et en décrypte les modes de fonctionnement.


BERNARD BERTRAND
ECRIVAIN PAYSAN, NATURALISTE, APICULTEUR AMATEUR & AUTEUR DU LIVRE RUCHES DE BIODIVERSITE

Toujours en recherche de solutions pour un monde meilleur, il nous racontera son expérience d'apiculteur amateur et ses découvertes.

« Les abeilles sont malades certes, mais elles sont avant tout malades des hommes et de leurs activités - y compris celles qui concernent la ruche ! Leur problème c'est bien nous ; le moins que nous puissions faire pour elles c'est bien de les aider à reconquérir une part de leur vie sauvage. »

 

CELINE LOCQUEVILLE & ALAIN RICHARD, LE JARDIN DES PETITES RUCHES

Situé en Bourgogne, ce jardin sauvage a été créé spécialement pour les abeilles avec de nombreuses vivaces et plantes mellifères, murs à insectes, toits végétaux, cabanes en bois cordé, ruches de biodiversité, plantes de vannerie, collection de nichoirs à insectes... Ils présentent le lien étroit existant entre les plantes et les abeilles sauvages et domestiques, afin de les préserver et sensibiliser à la biodiversité. Ils proposent tout au long de l'année des stages et des formations à l'apiculture naturelle.

 

STEPHANE ORTEGA, APICULTEUR PROFESSIONNEL

Après avoir été un apiculteur conventionnel et productiviste, Stephane a accumulé les échecs qui lui ont permis de comprendre que les abeilles ne pouvaient pas être traitées comme "un simple cheptel à produire" ! Cette prise de conscience l'a amené à pratiquer une apiculture extensive, respectueuse des abeilles. Il préserve la capacité d'essaimage de ses abeilles, ne les traite pas chimiquement et fait sur ses ruches le minimum d'opérations stressantes. Ainsi, il ne les ouvre quasiment jamais, privilégiant toujours l'observation au trou d'envol. Fort de ces expériences, Stéphane progresse dans la connaissance des abeilles et de leurs vrais besoins et partage avec nous ses enseignements...

 

PEGGY GODREUIL, FONDATRICE DE L'ASSOCIATION APIS NATURA

Passionnée d'abeille et de nature, elle est l'une des fondatrice de l'association l'association Apis Natura qui œuvre pour la promotion et le développement d’une apiculture naturelle respectueuse de l’abeille et de son environnement. Son action conservatoire de l’abeille s’organise autour de deux axes complémentaires : le petit élevage et l’accueil de colonies libres en nichoir. Peggy défend une apiculture naturelle (approche globale, douce et peu interventionniste) dont les fondements s’appuient sur l’observation et l’accompagnement des besoins et des comportements naturels des colonies d’abeilles, au plus près des conditions sauvages.

 

Les réalisateurs : Perrine Bertrand et Yan Grill, à tous les deux ils forment une équipe complète (ou presque !).

Ils aiment faire des films engagés, de façon indépendante, sur des sujets qui leur tiennent à coeur. Ils ont réalisé ensemble « L'ortie fée de la résistance » et « La révolution des sols vivants », et souhaitent réaliser un film dans cette même lignée.

PERRINE BERTRAND, REALISATRICE
 
1998: bac L option cinéma
1999: Service Volontaire Européen en Crête, création d'un centre d'information jeunesse
2000: WWOOFing en Espagne et au Portugal
2001: Volontaire dans l'association Alternative V à Kiev en Ukraine qui organise des chantiers internationaux
2001-2004: vit en Galice (Espagne)
2002/2003: formation de photographe à l'école des arts et métiers de la Corogne
2005: Stage de réalisation au cinéma documentaire aux Ateliers Varan, Paris, réalisation d'un premier documentaire "Ghiorghitsa ".(24 min)
2006: Réalisation de 7 films "Initiation à la vannerie sauvage" (90 min)
2008:  L'ortie fée de la Résistance" co-réalisé avec Yan Grill notre premier long métrage documentaire  (1h42)
2010: Kaspar et les enfants sauvages, documentaire, 57min
2011: Autour d'Ailes documentaire
2011: La révolution des sols vivants co-réalisé avec Yan Grill
 

YAN GRILL, REALISATEUR, COMPOSITEUR, INGENIEUR DU SON & MUSICIEN

Musicien professionnel et ingénieur du son pendant 20 ans, il enregistre également de nombreux groupes au studio Furax à Toulouse avant de découvrir la vidéo en 2003 au cours d'une formation de JRI. Depuis, il a participé à de nombreux films documentaires, courts-métrages et clips musicaux en tant que réalisateur et monteur, en voici quelques-uns :
  
2004 : "Traficantes de verdades", monteur du documentaire de Gregory Lasalle
2005 : "Parole au sommet",  co-réalisateur et monteur de ce documentaire de 52mn,
2006 : "Centre de détention de Muret", réalisateur et monteur de ce reportage
2006 : "Un train à vapeur", réalisateur et monteur de ce reportage de 26mn, "Les Marmottons", réalisateur et monteur de ce reportage de 52mn
2008:  "L'ortie fée de la Résistance" documentaire durée 1h42 co-réalisateur, musique originale
2011:  "La révolution des sols vivant "  documentaire, 1h12, musique originale
2013: "Les règles du Tango ont changé", vidéo-danse, réalisateur
2016: "le bois, l'outil, le geste" , réalisateur
2017: "Rouscaillou sort de l'ombre", réalisateur, musique originale
 
Pour en savoir plus et visionner la plupart de ces films et bien d'autres encore rendez-vous sur notre site www.oko-za-oko.eu.
 

Réaliser un film documentaire est un énorme investissement en temps et en travail, nous prévoyons donc environ deux ans avant que le film ne sorte. C’est le temps que nous a pris la réalisation de nos films précédents.

Nous avons déjà trouvé une partie du financement , notamment grâce à notre partenaire co-producteur du film Terran Magazine. Cela nous a permis d’acheter le matériel qui nous manquait, et de démarrer les premiers tournages, ce qui était important pour nous puisque beaucoup de choses à filmer devaient l'être au printemps et en été.

A quoi servira l'argent de la collecte ?

Nous avons besoin de vous pour compléter le budget en finançant la post-production

  • Avec 12 000 €, nous finançons les frais de montage ainsi que la location du banc de montage avec un monteur professionnel .
  • Avec 20 000 €, on enregistre les voix-off, on créée les musiques originales et on peut réaliser le mixage du son et des musiques originales
  • Avec 25 000 €, on édite 2 000 DVD avec livret explicatif
  • Et si nous atteignons 30 000 €, nous pourrons réaliser des traductions et des sous-titres en anglais et en espagnol pour diffuser le film à l'étranger. 

 

Pourquoi le crowdfunding ?

Jusque là, nous avons toujours travaillé avec de petits moyens en autofinançant une bonne partie de nos projets. Au vu de l’enjeu et de l’urgence qu’il y a à trouver des pistes crédibles et durables pour la survie des abeilles, nous souhaitons aujourd’hui aller plus loin. De la qualité des images, de la diversité et de la qualité des intervenants rencontrés partout en Europe dépendront le succès et la crédibilité du film. Pour mener à bien ce projet, notre principal atout est notre indépendance créative. Avec votre soutien, nous pourrons traiter ce sujet en profondeur, grâce à des lanceurs d’alerte courageux, spécialistes de la ruche sauvage. Nous pourrons évoquer avec eux, sans crainte de pressions, tous les problèmes rencontrés par les abeilles aujourd’hui, sans tabou ni langue de bois...

En participant à notre projet, vous partagerez avec nous, dès les premiers tournages, nos rencontres et les informations qu’il nous sera possibles de diffuser. Nous vous tiendrons informés régulièrement de nos pérégrinations et de l’avancement du projet via une page web dédiée et les sites de nos partenaires. 

 

En échange de votre soutien, mais aussi pour nous aider à diffuser le message, nous vous proposons des contreparties. Nous souhaitons que ce film contribue à la prise de conscience que des solutions sont possibles ainsi qu'à la création d'un vaste réseau de ruches de biodiversité. Nous avons pensé ces contreparties pour qu'elles participent pleinement à cet objectif : des graines mellifères pour nourrir les abeilles, des livres sur l'apiculture naturelle, le DVD du film, des journées pour découvrir les abeilles auprès de plusieurs de nos partenaires intervenants dans le film, des stages de 2 jours pour apprendre à faire sa ruche de biodiversité en vannerie, ou encore des ruches de biodiversité à installer chez vous.

 

Les graines, les DVD et les livres vous seront envoyés dans les 15 jours qui suivent votre participation.

Les stages et journées découvertes : nous vous proposons plusieurs dates et possibilités dans le courant de l'année, cliquez ici pour les consulter.

Les ruches de biodiversité, créées de façon artisanale, toutes uniques, seront fabriquées cet hiver et vous seront envoyées au fur et à mesure de leur création à partir du 15 février 2018.

Nous espérons terminer le DVD du film pour la fin de l'année 2018 : il vous sera expédié aussitôt.

Les frais de port sont inclus dans le prix des contreparties.

 

A propos des producteurs Oko za Oko et Terran Magazine

Après la collecte, les fonds seront reversés à Oko za Oko, producteur du film et Terran magazine, co-producteur.

OKO ZA OKO est une association loi 1901 à but non lucratif créée en 2007. Nous l'avons créée pour pouvoir produire nos films de façon indépendante.

Terran Magazine édite le magazine Le Lien Créatif et souhaite s'investir dans la production de ce film.

 

Ils nous soutiennent

L'association Kokopelli et Graines del Païs nous offrent les graines, les éditions de Terran nous aident à la diffusion du DVD.

Nous sommes également soutenus dans notre démarche par des partenaires variés : la Fondation Nature & Découvertes, le magazine le Lien Créatif, la Fédération des Conservatoires de l'abeille noire, le CNRS de Chizé avec le projet Beehope, les associations Apicool, Apis Natura, le Jardin des Petites Ruches, le Jardin des Sortilèges, le Conservatoire des abeilles noires d'Ile de France, les associations FreeTheBees & Tree Beekeeping International, les entreprises Berthet Paysage et Jean-Martin Paysagiste. Un grand merci à vous tous !

En savoir plus

Site internet de notre association de production Ozo Za Oko

Ruches de biodiversité

Contact de Perrine Bertrand : perrinebertrand31@gmail.com

 

« Donner l'exemple n'est pas le principal moyen d'influencer les autres, c'est le seul moyen. » †¨Albert Einstein




 



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