Thé où ? En centre Bretagne !

Kreiz Breizh (22) Coat an té

Ca y est, je deviens paysanne !

Je m'appelle Florence Blahat, j'ai commencé à planter du thé en centre Bretagne, et j'ai besoin de votre aide pour acheter les prochains plants de thé et le matériel nécessaire.



Qui suis-je ?

Un parcours riche de rencontres et d'enseignements, quinze ans d'accueil en entreprises, 22 ans de chant et toute ma vie en cuisine. Je travaille d'ailleurs toujours en cuisine, à mi-temps, au restaurant le Kumquat à Rostrenen.

Je suis la nouvelle heureuse propriétaire d'un terrain en centre Bretagne (Kreiz Breizh), vallonné, boisé, et riche d'écosystèmes, un terrain de 12 hectares entouré par une rivière.

 

 

Et je créé ma plantation de thé dans ce merveilleux endroit. Elle va s'appeler Coat an té, ce qui veut dire Bois de thé en breton. L'idée d'un jeune ami que j'ai aussitôt adoptée. 

 

Comment ça a commencé ?

J'ai découvert l'univers du théier en juin 2022, avec Candy Nguyen, et rencontré, par son intermédiaire, Denis Mazerolle, Filleule des Fées, implanté en Bretagne depuis plusieurs années, créateur de thés avec sa femme Weizi.

J'ai donc décidé de me lancer dans cette aventure.

Après avoir observé les saisons passer et repasser pendant deux ans, en appliquant ce principe de permaculture et de bon sens appris au cours de mon CCP avec Antoine Talin, Les Alvéoles, j'ai arpenté mon terrain à l'automne dernier, et trouvé l'endroit parfait dans une terre de fougères acide, abrité du vent et du soleil par les arbres déjà en place, avec une pente intéressante.

En mars 2023, avec l'aide précieuse de mes amies et amis voisins, nous avons broyé les fougères fanées de l'année passée sur 3000m2, posé les piquets, le grillage - parce que les chevreuils sont friands des plants de thés - creusé 500 trous, et en mai, j'ai commencé à planter mes 500 premiers théiers, avec de jeunes plants bretons, achetés chez Denis Mazerolle. 

 

L'avant... et l'après !

 

Mes formations

Chez Denis, fin juin, j'ai fait une formation de transformation du thé, après récolte. Cela m'a vraiment confortée dans mon idée, le plaisir d'évoluer avec cet arbre centenaire. Thé vert, thé noir, thé blanc. L'année prochaine, je fais la formation thé oolong.

Le théier, de son nom latin Camelia sinensis, est un arbre qui se plaît en Bretagne, proche parent du Camélia à fleurs, comme son nom latin l'indique.

Ma formation d'un an en plantes sauvages avec Christophe de Hody, Le chemin de la Nature, m'a donné goût à l'univers végétal, tellement infini et toujours mystérieux. (J'ai créé et rédigé les recettes du livre qu'il a co-écrit avec Corinne Jamet, photographe, "le bienfait des arbres" ).

Le séchage des plantes me fascine !

Le projet

Mon projet est de planter 5000 théiers, pour en faire un thé breton de très bonne qualité - ceux qui me connaissent déjà savent mon amour des bons produits. Et mon respect inné de la nature, à laquelle je m'adapte, plutôt que de la plier à mes exigences.

Le théier prend quelques années avant de produire suffisamment de feuilles pour les transformer. D'ici deux à trois ans je pourrai commencer à récolter, d'où l'importance d'acheter aujourd'hui le maximum de plants, pour ne pas perdre de temps.

Cela représente un investissement important, dans un premier temps pour l'achat des plants, et par la suite du matériel et de la future construction, qui sera l'atelier de transformation, conservation, et lieu de vente. 

 

 

Comme une communauté

Nous sommes quelques uns à commencer cette culture en Bretagne. Il y a également Lucas Ben-Moura, plantation de thé familiale "l'Arrieulat", qui cultive depuis quelques temps déjà le théier dans les Pyrénées, autre région française qu'affectionne particulièrement cet arbre.

Nous sommes toutes et tous dans une bonne entente, ce qui nous permet d'acheter en commun ou de faire venir de Chine les ustensiles nécessaires à la transformation, qui n'existent pas en France, à moindre coût de transport. 

 

 

A quoi servira cette collecte ?

  • Avec 7 600 : j'achèterais les 1100 prochains plants, que j'ai commandés à Lucas, dans les Pyrénées, afin de varier les origines de mes théiers et renforcer leur rusticité.
  • Avec 12 000 : j'achèterais le matériel nécessaire à la transformation, les paniers en osier de séchage, le wok électrique pour le thé vert.
  • Avec 20 000 : je pourrais réaliser la construction du bâtiment en bois, après autorisations.

 

Je viens donc ici vous proposer de participer à cette aventure de thé français !

 

Restons en contact !

 

Téléphone : 06 62 31 78 81

 

Si vous souhaitez soutenir le projet sans créer de compte Bluebees, vous pouvez m'adresser un chèque du montant de votre choix à l'adresse que je vous communiquerai par mail.

 

 

 



Vous devez être connecté pour visualiser ces informations.

Vous devez être connecté pour visualiser ces informations.